Siryäle

~ Nom : Faust.

~ Prénom : Siryäle.

~ Âge : 28 ans.

~ Sexe : Mâleuuuuh.

~ Continent et région de naissance :Continent du mal, Valaurakar

~ Race : Humain

~ Opinion face à la magie élémentaire :
Ne possédant pas vraiment de grand pouvoir, ni d'aisance dans l'art de la magie pour faire apparaître un lapin dans un chapeau(vision très réduite de part son opinion), Siryäle considère la magie élémentaire comme un tour de passe-passe dont tout le monde pourrait très certainement se passer. Il a, disons, une opinion assez moqueuse sur ce grand sujet de conversation et chine souvent quand il aperçoit une de ces personnes manipulant cette forme de magie.

~ Métier/Rang/Fonction :"Dirigeant" de Valaurakar.




~ Description physique :
Son visage reflète particulièrement un charme envoûtant, le visage d'un ange dont l'aura unidimensionnelle n'a pour seule et unique but de tromper les gens. Des cheveux long un peu grisonnant saupoudré par quelques petites mèches de cheveux blancs, un regard pénétrant et noir comme le fond de son âme et une bouche porteuse d'un sourire qui en dit long sur ses intentions. Sa carrure qui paraît normale sous la tonne de vêtements qu'il arrive à porter est assez, véridiquement, maigre.

Sous ses airs de beau jeune homme, Siryäle à un goût particulier pour les vêtements en général. Étant déguisé comme un fétu de paille, Siryäle aime s'habiller de manière étrange et pas obligatoirement avec une grande classe, si ce n'est une propreté inégalé et une intention propre à l'entretien de ses vêtements. Effectivement, notre cher dirigeant semble adoré mélanger plusieurs styles qui font de lui un être aussi mystérieux et improbable. Donc vous pourrez sans aucune difficulté le voir s'accoutrer de vêtements faits sur mesures comme par exemple un genre de veste ayant été racolée, découpée et reformée selon ses envies ainsi que décorée par de multiples boutons ou par d' autres choses assez notoires.


~ Caractéristiques particulières :
Autre particularité à relevée et tout aussi bizarroïdes, c'est sa manière de marcher. Oui, effectivement, notre cher jeune homme semble éprouver quelques difficultés face à l'agencement propre d'une marche normal, c'est à dire un pied devant l'autre. Non, bien évidement, toutes choses sortant de l'ordinaire sont, chez Siryäle, bonne à prendre. Ainsi donc, sa démarche se résume à deux pieds posés de travers et un peu éloignés l'un de l'autre. Tout en ayant l'habitude de voir ses sous-fifres de profil et non de face, ce qui donne un ensemble assez sympathique et surprenant.




~ Caractère :
Le caractère de Syriäle n'est qu'une multitude de défauts assemblés les uns sur les autres. Sa folie étant l'élément fondateur de son caractère, Siryäle se laisse facilement influencé par ses humeurs vagabondes et imprévues. Manipulateur et pur fervent des mots bien placés pour que chantage et escroquerie l'aide à arrivé à ses fins, notre cher dirigeant adore plus que tout utilisé ses diverses fables de récits cachant continuellement une fausse vérité. Fin comme un renard, il ne tardera jamais de manier les événements selon ses propres désirs si bien sûr tout se passe comme il l'avait souhaité. Sujet à de violentes réactions, il n'hésite pas à faire part de sa folie quand l'occasion se présente. N'éprouvant aucune pitié envers ses victimes, il adore plus que tout faire souffrir les personnes désireuses de lui résister. Et pour finir, Siryäle n'éprouve aucune crainte, aucune peur, il adore au contraire s'imprégner de ces moments particuliers pour mieux les ressentir et les faire ressortir plus tard sur ses futurs martyrs.


~ Rêves/ambitions :
Ses propres souhaits et désirs ne sont nul autre qu'un règne et un pouvoir encore plus grand. Montrer à tous les autres continents que les cauchemars d'autrefois profondément enfouis dans l'histoire des quatre éléments ne sont pas si difficile à faire ressurgir. Rien qu'une toute petite source de malin et de vice peut servir à procurer chez un être transpirant le mal une méprisante idée de la justice et de la droiture.

~ Intérêts/goûts et dégoûts:
Siryäle n'a aucun respect envers ses ennemis. Il n'a aucun principe, aucune loyauté pour tout ces " bonnes " gens. Pour lui, le monde dans lequel il vit, n'est qu'une immense machinerie des déesses jouant avec la personnalité de chaque être vivant. Il se doit, selon-lui, relever le niveau du continent du mal éclaté et parsemé ici et là. Dans la souffrance nait la découverte de soi-même et dans la destruction nait la création.(Ce sont ses propres paroles et idées)

~ Phobies/peurs : Voir entièrement disparaître chaque être du continent du mal ainsi que ces terres qui lui sont bénéfiques




~ Description :
Siryäle n'a pas vraiment de pouvoir disons nécessitant une grande maîtrise de la magie. Seul le pouvoir de la personnalité et de son intelligence manipulatrice est importante à ses yeux. Les paroles, les mots, sont pour lui, des pouvoirs qui lui ont été confiés dès sa naissance dont tout le monde ignore la vrai utilité.

~ Limites et faiblesses :
Étant disons déréglé intérieurement à cause de sa personnalité très dérangée, Syriäle n'a pas conscience du danger et de la mort car il s'en contre fiche. Il peut sans aucun soucis se tuer car selon lui, seul son destin est maître de son avenir. Ainsi donc, s'il se retrouve dépourvu de moyen défensif face à un être enragé et le haïssant, Syriäle pourra sans aucun problème accepter la mort qui l'attend au tournant. Ceci peut-être une force comme une faiblesse.




~ Histoire :
C'est sur les terres dévastées de Valaurakar que Siryäle Faust à vu le jour ou plutôt une sombre nuit d'hiver.

Fils d'un père fermier et d'une mère fermière, Siryäle à grandit dans une petite ferme sur des terres très reculées de Valaurakar. Son père assez autoritaire lui ordonna de travailler à la ferme jusqu'à ses 20 ans. Au cours de son enfance, notre jeune homme eut de nombreuses et violentes prises de têtes avec son père qui ne cessait de lui hurler dessus tout en le traitant de moins que rien. Sujet à de nombreuses disputes, notre jeune homme ne respecta pas le dit  « contrat » de son père puisqu'il décida de partir à l'âge de 18 ans. Le jour de son départ, il lui dit mot pour mot tout en le défiant du regard : " Je n'ai aucunement envie de rester en ces lieux puant et infecte pour satisfaire les lubies d'un père complètement à côté de la plaque. "

Siryäle était un grand adepte de sa propre politique des choses. Les divers désaccords étaient la raison même de ses disputes avec son père qui ne cessait de lui hurler au visage que ces idées n'étaient pas digne d'un fils de fermier. Tout souriant, sans ressentir aucune gêne, Siryäle faisait part de ses idées et expliquait à son père qu'il était qu'un simple mouton dans une bergerie. Un mouton suivant les directives administrés par les autres continents qui avaient peur d'un nouveau soulèvement de pouvoir.

C'est pour dire qu'à l'époque, Siryäle s'intéressait grandement à l'histoire des cinq continents et qu'il avait déjà sa propre opinion ainsi que ses propres idées.

Ainsi donc, c'est à dix huit ans que le jeune Siryäle partit sans broncher de chez-lui pour ainsi donc parcourir les différents continents du monde. Grâce à son esprit futé, il réussissait sans aucun problème à s'infiltrer dans diverses embarcations. Il découvrit que les autres continents étaient complètement diffèrent de son pays natale. Les esprits étaient tout autre, la pauvreté n'était pas aussi répandu que dans son pays et les pensées des habitants des autres continents vis à vis de celui du mal lui inspiraient un profond dégoût et déshonneur. Consterné, énervé, révolté, les nerfs de Siryäle finirent par lâcher si bien qu'un jour, il commit l'irréparable.

C'était un soir, sur le continent de la terre, plus précisément dans une taverne sur les terres de Ghiaccia que le jeune homme fut pris par une pensée folle. Après avoir espionner une conversation de deux ivrognes parlant de l'inutilité du continent du mal, Siryäle attendit dans une ruelle sombre près de la taverne. Lorsque les deux personnages sortirent de la taverne, le jeune homme assassina les deux hommes sans aucune pitié. Sa folie incandescente s'alluma et après un bon nombre de coup de couteau administré à ses deux victimes, les mains pleines de sang et le regard vide, Siryäle décida de s'enfuir et de retourner sur ces terres.

Sa conscience bascula, son aliénation naquit et ses pensées devinrent de plus en plus noires et hostiles. Sa folie le possédait chaque jour, son dégoût grandissait et sa vision du monde changeait si bien qu'il s'était fixer au final, une idée bien définie : changer à tout prix cette misérable situation.

Il revit à l'âge de ses vingt-ans ses parents. Le petit garçon d'autrefois avait disparu, son père et sa mère furent surpris de voir Siryäle autrement, aussi bien physiquement que mentalement. Se souvenant des diverses disputes entre lui et son père, Siryäle fut posséder par son aliénation. En ce soir de novembre, le mois et la date même de sa naissance, Mr et Mme Faust connurent la mort sous les coups de couteaux furieux de leur fils. La ferme fut brûler et tout ce qui pouvait évoquer l'enfance de Siryäle disparu à jamais.

Ce fut sans fin et inlassablement que Siryäle erra sur les quatre parcelles séparées du continent du mal sans avoir de réel but si ce n'est suivre sa folie possessive. Il fit partit de quelques groupes et autres bandes de malfrats pour voler et piller quelques petits villages afin de subvenir à ses besoins.

C'est à l'âge de 26 ans que notre jeune homme commença à faire le tour des tavernes insalubre du pays pour faire part de ses idées sur la situation actuelle. Il réussit à réunir des dizaines de personnes louant une cause similaire, une cause proche de ses idées et de ses propositions. Siryäle fit le tour du continent du mal et commença à se faire connaître. Menant chaque mois des hommes prêt à le servir pour faire part brutalement de leur dégoût et de leur révolte aux autres continents, il commença à brûler quelques petits villages tout en peignant le symbole de son mouvement de révolte. Il se mit même à le nommer : La marche des protagonistes du mal.

Sa politique inspirait et inspire grand nombre de personnes présentent en Valaurakar, des idéaux rêvés depuis la nuit des temps par les habitants. Un homme s'est vu et se regarde actuellement au sein d'un clan, d'un mouvement qui ne comprends qu'un seul et unique but : Faire régné le malheur et le chaos, montrer une vengeance avide et agressive. Les habitants aveuglés par leur haine sont voilés par les bonnes paroles de leur dirigeant qui pense autrement et seulement pour son égo.

Aujourd'hui, Siryäle souhaite plus que tout agrandir son influence pour qu'enfin une véritable guerre et anarchie règne sur les quatre autres continents.




~ Armes :Deux petites dagues qu'il a fait faire à un forgeron de son continent. Des dagues qu'il a nommé lui-même et s'appelant : Tromperie et cruciale.

~ Équipement :Rien de particulier si ce n'est son accoutrement.

~ Bijoux : Deux bagues en or sur les deux pouces de ses deux mains.

~ Autre : Rien.




Fréquence de Connexion : 7/7 jours

Avez-vous lu le règlement ?Oui, de A à Z.

Où avez-vous connu le forum ?Dans ma boite hotmail, au cours d'un soir.

D'où venez vous? De France, plus précisément de Bourgogne.

[En espérant ne pas avoir commis de grosses gourdes...]

Je n'ai qu'un problème avec ta fiche : compte tenu de la fin de ton histoire, j'ai du mal à comprendre comment il pourrait être considéré comme "dirigeant" de Valaurakar. Peut-être préciser qu'il a plus ou moins mis main basse sur toute la région ?

(Oui, et d'ailleurs pour ta fonction, Valaurakar est une région, non un continent. Mais c'est un détail.)

Ben disons que c'est un dirigeant, un peu un personnage qui fait part de ses idées et qui essaye de diriger un certain nombre d'homme. Shanx m'avait expliqué que mon personnage ne serait pas vraiment LE dirigeant de Valaurakar, juste un homme qui organise grâce à ses paroles et son charisme des actions contre les quatre continents. C'est ça que je veux montrer particulièrement, il ne se considère pas vraiment comme le personnage le plus puissant de tout Valaurakar. Seulement, un homme qui profite de la misère et de la colère des autres pour monter son propre clan. (Je l'avais compris dans ce sens là, j'ai peut-être mal interprété les choses.)

Ah oui en effet, j'ai commis une boulette d'inattention. Je m'en vais le rectifier.^^

Peut-être pourrais-tu simplement ajouter que le mouvement qu'il a initié, celui de la marche des protagonistes du mal (nom très glamour, soit dit en passant!), pourrait avoir été reçu comme un souffle de vent nouveau sur le Valaurakar et que, volontairement ou non, ses habitants se tournent spontanément vers cette marche, et son chef, dans l'espoir qu'il les aidera à sortir du marasme dans lequel ils sont plongés depuis des années, et se venger des affronts subis.

Dans cette optique, le titre de "dirigeant" de Valaurakar me semble justifié.

Je t'invite même à choisir ton propre titre (Dirigeant, ça fait un peu soft pour un terroriste médiéval, non ?)

Terra ?

Oui, dans ce cadre-là je n'aurais plus rien à redire. A part que Dirigeant, ça manque effectivement un peu de classe.

Voila, j'ai ajouté un petit paragraphe précisant et justifiant le titre qui se nommera à présent "Oppresseur des protagonistes".^^
(en espérant que ça plaira)

Génial, on a finalement un méchant qui est méchant, il ne veut rien de moins qu'une guerre intercontinentale massive.
J'ai lu en diagonale, mais je n'ai aucun problème avec. Alors, Terra, c'est ta décision.

Siryäle, si tu souhaites poster une demande dans le topics des postes à combler, envoies-moi un MP.

Mes zexcuses pour l'attente. Bon, je ne suis toujours pas fan de ton rang, mais c'est le tien après tout. Du moment qu'on comprend que tu es un chef de méchants, tu choisis ce qu'il te plaît. Et le reste de ta présentation me va très bien comme ça.

Je déclare donc ta fiche validée ! Bon jeu ! ^^